Confiture bonne tata

Nous sommes le 21 février, il est 8h30. Je me réveille avec difficulté. Il fait déjà grand jour mais j’ai pas envie de bouger mon cul. J’avais prévu une journée de ouf mais j’ai fait fasse à un désistement et une absence de réponse. Mon programme a du plomb dans l’aile. Je décide de rester coucher. J’ai la flemme de sortir du lit et de me retrouver tout seul. Finalement vers 11 heures je trouve un bout de motivation. Je m’habille, je récupère un sac et c’est parti. Je vais récupérer un VLille à côté de chez moi. Qu’est ce que c’est cool le vélo. En deux trois tours de pédalier je me retrouve sur la passerelle qui enjambe la Deule près de la citadelle. Putain c’est blindé de monde. Faut dire que c’est le premier dimanche avec du soleil. Je passe au dessus du cours d’eau non sans difficulté. Une fois de l’autre côté je dois slalomer entre les familles, les joggers, les chiens et cie. Je raccroche mon VLille vers Marquette, et je continue à pieds. J’ai un objectif : le pont au dessus du canal de Roubaix. Lors d’une précédente ballade j’ai repéré des églantiers. Au bout Lire la suite…

Arc en ciel d’émotions

Nous sommes le 22 février, il est 6h53. Je me réveille spontanément. Putain j’ai pas du tout envie de me lever. Je donne un coup dans le tabouret qui me sert de table de nuit pour activer l’affichage de l’heure de ma montre. Maintenant si je m’éveille avant que la sonnerie ne retentisse ça va pas aller. Mais bon j’ai pas le choix, j’ai envie de pisser. Je me traîne donc jusqu’à la salle de bain. Je vide ma vessie. Et pendant que je me lave les mains, je jette un coup d’œil dans le miroir. Oh la vache la gueule de merde. Après cet état des lieux au résultat si positif, je retourne dans mon salon-bureau-salle à manger-chambre. Il faut que je remette mon poste de travail en place. Mais j’ai envie de changements, je décide donc de laisser la table en place et de mettre les ordis sur le plateau avec les tréteaux. Sauf qu’à 7h20 tout est prêt, mais je suis une bonne poire j’ai donc commencé à bosser dix minutes avant l’horaire. Et tout ça lors que j’ai absolument pas envie de bosser. Et tout ça alors que j’ai terminé ma liste de la semaine dernière Lire la suite…

Arc en ciel d’émotions

Nous sommes le 22 février, il est 6h53. Je me réveille spontanément. Putain j’ai pas du tout envie de me lever. Je donne un coup dans le tabouret qui me sert de table de nuit pour activer l’affichage de l’heure de ma montre. Maintenant si je m’éveille avant que la sonnerie ne retentisse ça va pas aller. Mais bon j’ai pas le choix, j’ai envie de pisser. Je me traîne donc jusqu’à la salle de bain. Je vide ma vessie. Et pendant que je me lave les mains, je jette un coup d’œil dans le miroir. Oh la vache la gueule de merde. Après cet état des lieux au résultat si positif, je retourne dans mon salon-bureau-salle à manger-chambre. Il faut que je remette mon poste de travail en place. Mais j’ai envie de changements, je décide donc de laisser la table en place et de mettre les ordis sur le plateau avec les tréteaux. Sauf qu’à 7h20 tout est prêt, mais je suis une bonne poire j’ai donc commencé à bosser dix minutes avant l’horaire. Et tout ça lors que j’ai absolument pas envie de bosser. Et tout ça alors que j’ai terminé ma liste de la semaine dernière Lire la suite…

Une journée de merde

Nous sommes le 31 janvier, il est 8h17. J’émerge avec difficulté de ma torpeur. Il faut dire que la nuit a été compliquée. L’insupportable créature qui me sert de chat a encore sévi. Il a gratté le lino dans le salon, pile à l’endroit où il a pissé hier. Joie. Je me lève avec difficulté, j’ai la flemme. Je me traîne jusqu’à la cuisine pour me faire un café. Aujourd’hui j’ai organisé une sortie dans la nature. Il faut absolument que j’accomplisse quelque chose avant la fin de la journée. En effet, toute ma semaine n’a été qu’une longue succession de journées interminables, sans intérêt. Mon boulot me fait chier. Autant avant j’y trouvais de l’intérêt, je me sentais utile, autant maintenant je ne suis qu’un écrou d’une énorme machine dénouée d’humanité. Même l’ambiance de la nouvelle équipe n’est pas agréable. Heureusement que je suis en télétravail. Et ma vie personnelle n’en parlons pas. Avec ce couvre feu il faut se dépêcher d’aller faire ses courses, on ne peut voir personne, ou se balader. Je dis pas que si j’en avais la possibilité je ferais des randonnées de 8 heures après le boulot. En revanche de savoir que c’est pas Lire la suite…

Un toast de 121 kg

Nous sommes le lundi 8 février. Il est 14h13. J’ai les jambes flageolantes et le cœur qui bat fort dans la poitrine. Il vient de m’arriver un truc de fou. J’étais en train de bosser, quand j’ai eu une envie d’une infusion. Je vais dans la cuisine pour faire chauffer l’eau. Je prépare ma théière. Puis je retourne dans mon salon histoire d’avancer un peu sur mon dossier en attendant. Deux trois minutes plus tard, je verse l’eau délicatement pour que tous les morceaux d’hibiscus soient bien baignés. Je lance mon minuteur sur ma montre. Mais quand j’arrive dans le salon, une odeur désagréable m’imprègne les narines. Ça sent le plastique qui chauffe. Je m’approche du radiateur et je recule l’étendoir que j’ai placé devant. J’ai lavé une alèse qui me sert de molleton, c’est sûrement ça qui a un peu trop chauffé. Je m’installe derrière mes écrans et reprend mon traitement. Mais ça pue vraiment. Encore une histoire d’odeur… Soudain ma vision périphérique est attirée par quelque chose. Je lève la tête. J’ai cru apercevoir de la fumée s’échapper de mon ordinateur. Je me lève, je fais le tour de la table qui me sert de bureau. J’entends alors Lire la suite…